mardi 14 juin 2011

Le soleil même la nuit


Un bon livre  c'est un livre dont on ressort différent que lorsqu'on y est entré.

C'est le cas de  ce livre de Jacques Lusseyran qui du début à  la fin vous prend corps et âme en vous emportant sur les cimes du courage, de la liberté, de la résistance face à l'adversité et de la Lumière.

Ce livre de Jacques Lusseyran aurait tout aussi bien s'intituler comme ce film franco-italien de 1989 inspiré d'une nouvelle de Tosltoi   "Le Soleil même la nuit".

En effet, ce livre  nous entraine au cœur de deux nuits : celle de la dernière guerre avec ses  horreurs, camps de concentration et celle d'un non voyant qui en plus de son handicap doit affronter la première.

Mais c'est pourtant aussi   au cœur de ces deux magistrales nuits que la Lumière, par contraste lui apparait d'autant plus vive, vivante.

Ce livre est surtout connu en tant que témoignage exceptionnel d'un homme qui a participé à la mise en place  des premiers mouvements de résistante et à la "vie" dans les camps.

Je voudrais moi vous le faire connaitre par une autre entrée, celle si bien décrite dans la préface de ce livre par Jacqueline Pardon :

"Un petit garçon de huit ans perd définitivement la vue, à la suite d'une bousculade à l'école communale.C'est un malheur irréparable.Mais Jacques Lusseyran le transforme en victoire.

Il découvre en lui des dons inhabituels. D'abord, il voit toujours le soleil lorsqu'il regarde de « l'intérieur vers l'intérieur », soleil qui « conserve sa flamme joyeuse ».

Et dans la lumière de celui-ci, tout revient. Et plus encore, c'est un déferlement de couleurs. Même les chiffres, les lettres, les notes de musique sont colorés.

Quant aux hommes, s'il ne voit plus la forme de leur corps, c'est une tache colorée qu'il perçoit, différente pour chacun.

Les autres sens se développent, l’ouïe en particulier. La voix, pour lui, est beaucoup plus révélatrice de l'être que l'expression du visage. La cécité, loin de le séparer des autres, le rapproche d'eux".

lundi 6 juin 2011

Urgences mode d'emploi

 
Personne à  contacter en cas d'urgence
Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de la route, les blessés ont un téléphone portable sur eux.
Toutefois, lors des interventions, on ne sait jamais qui contacter dans ces listes interminables de contacts.

Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun d'entre nous rentre dans son répertoire, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme.

Le pseudonyme international connu est « ICE » (= In Case of Emergency).
                                                   
  C'est sous ce nom qu'il faut entrer le numéro de la personne à contacter, utilisable par les ambulanciers, la police, les pompiers ou les premiers secours.

Lorsque plusieurs personnes doivent être contactées on peut utiliser ICE1, ICE2, ICE3, etc.

Facile à faire, ne coûte rien et peut apporter beaucoup. Si vous croyez en l'utilité de cette convention, faites passer le message .


Les gestes qui sauvent en cas d'accident cardiaque



Bien reconnaitre un A.V.C.
Prenez quelques minutes pour lire ceci  contribuez à faire connaître le danger que représente l'Accident Vasculaire Cérébral ... et peut-être sauverez-vous une vie.

Lors d'un barbecue, Julie trébuche et fait une chute. Elle affirme aux autres invités qu'elle va bien et qu'elle s'est accrochée les pieds à cause de ses nouveaux souliers. Les amis l'aident à s'asseoir et lui apportent une nouvelle assiette. Même si elle a l'air un peu secouée, Julie profite joyeusement du reste de l'après-midi...

Plus tard le mari de Julie téléphone à tous leurs amis pour dire que sa femme a été transportée à l'hôpital..... Julie meurt à 18h.
Elle avait eu un Accident Vasculaire Cérébral lors du barbecue. Si les personnes présentes avaient été en mesure d'identifier les signes d'un tel accident, Julie aurait pu être sauvée.
Un neurologue dit que s'il peut atteindre une victime d'A.V.C. dans les trois heures, il peut renverser entièrement les effets de la crise. Il affirme que le plus difficile est que l'A.V.C. soit identifié, diagnostiqué et que le patient soit vu en moins de trois heures par un médecin.

Pour reconnaître les symptômes d'un AVC :
Poser trois questions très simples à la personne en crise

1. *Lui demander de  sourire.                                       
  2. * Lui demander de lever LES DEUX BRAS.                          
  3. * Lui demander de PRONONCER UNE PHRASE TRES SIMPLE  (ex : le soleil est  magnifique aujourd'hui).                                          
  Si elle a de la difficulté à exécuter l'une de ces tâches, appelez le 15 et décrivez les symptômes au répartiteur.

  Selon un cardiologue, si tous ceux qui lise ce message l'envoient à leur tour à 10 personnes, une vie au moins pourrait être sauvée par jour.